Fondant parfumé Songe en sucre

Une création maison : 

violette, sucre rose, fraise et vanille.

Songe en Sucre

Songe en Sucre — la douceur qui veille sur tes nuits.

On raconte qu’au tout dernier tournant du crépuscule, juste entre la dernière seconde du jour et la première seconde de la nuit, il existe un minuscule passage invisible.

Là-bas, dans ce passage, il y a un monde si délicat que seuls les parfums peuvent en dessiner les frontières.

C’est là que vit Songe en Sucre.

Ce n’est ni une fée classique, ni un être de poussière d’étoiles.

C’est une créature née d’une erreur douce de l’univers — un souffle de violette trop sucré, une goutte de fraise tombée trop tôt, un soupir de vanille qui s’est échappé trop vite.

Songe en Sucre est toute petite, haute comme la hauteur d’un pétale.

Ses yeux arc-en-ciel scintillent comme s’ils contenaient des morceaux liquides d’aurores boréales.

Ses cheveux sont arc-en-ciel aussi, en mèches pastel, plus doux que les filaments d’une barbe à papa que personne n’a encore goûtée.

Elle dort le jour.

Et la nuit, elle traverse la brume parfumée des fleurs endormies.

Son domaine préféré, c’est le jardin des violettes en gouttes de rosée.

Là, elle récolte les parfums avec un geste qu’on voit à peine :

elle pince une note de parfum comme on attrape un rayon de lumière.

Violette.

Fraise.

Vanille.

Sucre.

Elle en fait des fils invisibles qu’elle tresse comme des cheveux.

Puis elle souffle dessus, très lentement.

Et c’est à ce moment précis que les humains rêvent plus doux.

Car Songe en Sucre n’accorde pas des vœux.

Elle ne change pas la matière.

Elle ne combat rien.

Elle adoucie.

Elle prend ce qui est lourd, et elle le rend légère ment sucré.

Elle prend ce qui est trop sérieux, et elle le transforme en un murmure du cœur.

Elle prend le monde… et elle le rend respirable.

Quand on se réveille avec une envie inexplicable de douceur,

d’appeler quelqu’un pour dire “je t’aime”,

ou de sourire au premier parfum du matin…

c’est qu’elle est passée par là.

Songe en Sucre ne se montre presque jamais.

Mais parfois, les humains attentifs remarquent un détail étrange, presque impossible :

au bord des yeux — un minuscule reflet arc-en-ciel

qui n’était pas là la veille.

Ce n’est pas une larme.

C’est une trace.

C’est la signature.

C’est la preuve que, cette nuit-là,

la petite créature arc-en-ciel a veillé sur leur rêve.

Et qu’elle y a laissé un peu de sucre.

Psaume 119:103

Que tes paroles sont douces à mon palais,

Plus que le miel à ma bouche !